À propos des images qu’on est amené à capturer de tout ce qu’on fait tout le temps et MON GROS NEZ + MA GROSSE LANGUE tu vas voir…
À propos des images qu’on est amené à capturer de tout ce qu’on fait tout le temps et MON GROS NEZ + MA GROSSE LANGUE tu vas voir…
J’apprécie bien la fin, car en effet, je suis d’avis que tout est dans la manière! Pour les fois où je me suis sentie nulle/jalouse en regardant les trucs des autres, il y a au moins le double de fois, sinon plus, où j’ai été inspirée, motivée. Je vois vraiment les bouts de ce que je propose aux autres comme des instants de poésie (c’est souvent des petits trucs comme tu dis). Et c’est souvent des personnes qui font comme ça que j’aime suivre aussi. Au final, j’y trouve mon compte. Mais le discours que tu tiens je l’entends souvent d’ami.e.s et je trouve ça triste 😦
les gens qui se sont enrichis de l époque de la.ruee de l.or vers l.ouest sont les vendeurs de pelles et de pioches…
j ai un bac plus 2 en multimédia et suis devenu maitre nageur pour desormais bricoler dans mon jardin…au moins le lendemain je me.rends compte de l evolution et du chemin parcouru.
respirez bien…ne vous laissez pas etouffer par l avis des autres tel le nez au milieu du visage tout le monde a un avis …
Mon plus beau souvenir : un jour de février, « le large du ciel », pur et bleu, de ma Haute Provence tant aimée, l’air froid qui me brûle le nez et les poumons ; des petits cristaux de neige arrachés à la pente qui volètent dans un rayon de soleil ; les montagnes enneigées, aussi loin que porte mon regard. Les spatules de mes skis frôlent l’abîme et je suis sur le point de me lancer dans la pente. J’ai douze ans.
Nulle photo, nul film, n’exprimera ce souvenir comme savent le faire toutes les cellules de mon corps qui me restitue chaque sensation de cet instant unique.
Une photo aurait gâché l’instant..
Une photo se serait peut-être perdue, aurait fané dans un tiroir…
Mon souvenir, lui, est tellement vivant !
(Ce qui suit s’adresse au clampin moyen, dont je fais partie : pas de blog, pas de carrière artistique en vue, ni aucune raison professionnelle de devoir particulièrement soigner son image et sa communication publique) :
Laissez donc un peu tomber vos perches à selfies et VIVEZ L’INSTANT. Soyez attentifs et tous les sens en éveil, enrichissez votre banque de données cérébrale, humaine et magique qui vous permettra de revivre, vraiment, ces instants.
Évidemment, pour toi, Chère Solange, la problématique est un peu (!) différente. Un équilibre nécessaire entre l’image qui te permet de gagner ta vie et l’attention à l’instant qui te permet de rester créative…
Merci encore pour ton travail – oui-oui, c’en est un 😉 !
La Queb’ qui r’monte de temps en temps 🙂
You don’t have to explain…