NARCISSISME 2.0

22 Sep

Prenez et likez-en tous, ceci est mon âme perdue pour vous.

15 Réponses vers “NARCISSISME 2.0”

  1. Anatole 22 septembre 2014 à 23:05 #

    Quelle accroche !! Magnifique ! ❤ ❤ ❤

  2. Sarah 22 septembre 2014 à 23:10 #

    Merci, encore une fois, Solange d’aborder ces questions qui me taraudent.

    Les phénomènes qui font le « buzz »comme Nabilla, par exemple, c’est vrai on s’demande « Qu’est-ce qui motive la vie de ces gens ? Comment se fait-ce que le public existe pour eux ? » [à cause de tout ce que tu viens de dire]
    Parfois j’ai envie de penser « Pffff…Perd pas ton temps ma vieille, ce sont des cons parmi des milliers d’autres » mais NON ce serait trop facile.

    Alors heureusement dans ces cas-là il y a ta voix douce et tes mots justes. 🙂

  3. poliplok 22 septembre 2014 à 23:12 #

    Truite n’est pas en devenir, Truite n’est pas la meilleure, Truite est juste Truite mais Truite existe et on l’aime !

    En tout cas tout est dit dans cette vidéo, bravo pour l’analyse.

    Et ça ne va pas être facile d’en sortir… mais le veux-tu ?

  4. Tara B. 23 septembre 2014 à 01:43 #

    Juste un mot (trois) : Solange je t’aime !

  5. JPV 23 septembre 2014 à 07:56 #

    Bonjour,
    Assez souvent, voire très souvent, Ina se hausse dans sa pensée et dans son expression à une intensité et à une justesse rarement atteintes par tant de plumitifs. Cet opus est une merveille dont nous pouvons tous faire notre miel. « Je ne connais pas la valeur de ce que je suis. C’est toi qui décides. » Je ne sais pas la valeur de ce que tu es, Ina, mais je connais la valeur de ce que tu dis, de ce que tu exprimes. Tu es un de mes philosophes préférés. Tu m’aides à vivre et à penser. Merci.

  6. bolinas84 23 septembre 2014 à 10:39 #

    Solange, telle que tu es, je n’aurais pas su t’inventer, heureusement que je t’ai trouvée toute faite car j’adore ce que tu fais. Cela fait du bien et je partage sur FesseBook (oh,pardon) et surtout à toutes mes amies.

  7. Christophe 23 septembre 2014 à 21:51 #

    D’une parfaite justesse, merci Solange, tu rayonnes sur tous… Même sur les personnes qui te critiquent : tu réveilles chez eux des choses, des blessures qu’elles ont à conscientiser et à nettoyer, tu les aides en ce sens… Je peux te dire qu’à mes yeux, tu as une valeur inestimable… Comme chaque être vivant sur cette planète, et comme notre planète elle-même… Ne doute pas de ta valeur et aime-toi comme nous t’aimons 😉

  8. Sunny 24 septembre 2014 à 11:18 #

    Solange …. c’est violent ce que tu dis là…. Ca me rend triste : « Je ne connais pas la valeur de ce que je suis. C’est toi qui décides. » Je me rassure en me disant que c’est le personnage Solange qui parle pas la femme vraie comédienne. En tous cas je t’envoie du love.

  9. Hugues 25 septembre 2014 à 08:57 #

    Alors là, pas d’accord du tout!
    je refuse d’avoir la responsabilité de votre existence et de votre valeur! J’ai déjà assez de mal avec la mienne! 😉
    Plaisanterie mise à part, votre personnage, lunaire et névrotique, me touche beaucoup.
    Continuez, car, quand je vous vois je me dis:
    – Pierre Desproges me manque!

  10. swann7 25 septembre 2014 à 22:30 #

    C’est Swann (je suis dans la vidéo de Norman qui est sortie aujourd’hui, moi aussi j’essaye d’exister, au moins à tes yeux 🙂 ). Tu es incroyable Solange. Incroyable.

  11. Jessica 26 septembre 2014 à 10:06 #

    Bonjour Solange, voilà je viens de te découvrir ce matin et… wow cette claque! J’aime la façon dont tu exprimes les doutes, la vie, ta prestance et ton expression! Tu es une personne très touchante qu’il ferait bon d’avoir dans ses amis ou autour de soi. Surtout ma Belle, ne changes rien et continue encore et tjs de faire ce que tu fais et ce que aimes! Et Merci à Toi 🙂

  12. Myriam 27 septembre 2014 à 12:26 #

    Grandiose !

  13. Le Rem's 27 septembre 2014 à 13:08 #

    Tu m’inspire, tu m’inspires, tu m’inspires. Tu fais parti de ceux et celles qui me donnent envie de d’écrire et de parler, de lire et d’écouter. Et je tombe d’accord avec Christophe quand il dit que tu réveilles (peut être) des sentiments chez (certains de) tes détracteurs qui leur permet peut être un embryon de questionnement.

    En fait j’en sais rien… le seul truc qui est sûr c’est que tu provoque pleins d’émotions (positives) en moi. Et que c’est bon, parce que régulièrement j’ai l’impression d’être un caillou qui ne ressent plus rien.

    Merci 🙂

  14. txk 1 octobre 2014 à 14:54 #

    ouroboros n’est pas loin!

    je t’aime, même quand le liens sociale qui existe entre nous manque de réalité concrète je suis heureux de pouvoir continué a observé et absorbé ce que tu me donne de tes réflexions a travers ce froid média.
    prend soin de toi et continue à œuvré pour toi à travers tes pratiques non professionnel pour resté encré dans la vrai réalité. même si la fausse celle du réseau a ses charme et que je suis content de pouvoir y revenir pour admiré tes productions quand le cœur me prend de revenir te voir sans que tu ne le sache ou ne profite de cette interaction a sens unique :).

    bises solangeina a l’orange sanguine.

  15. Lambert (pour la Rime Emballant-e-) 27 novembre 2014 à 17:34 #

    [LE PERSONNAGE DE SOLANGE]

    Je m’appelle Solange-Te-Parle

    Je cherche à capter l’attention, depuis Bébé ça me fait du bien.

    Je ne me déçois pas de ce zèle primaire,
    D’aimer bien, d’être à l’aise, à chaque fois qu’un flash
    Me dévoile ou je cache en image éphémère
    Une magie en moi dans ta mémoire, ///, slash !

    J’ai grandit au milieu d’images qui m’ont fait fantasmer la mienne

    C’est à coup de CANON que se fixe l’icone;
    Canonisant ce MOI d’un format médium !
    J’étais déjà bébé sous du gel silicone.
    Si lisse est l’homme ainsi s’il est, silicium…

    Comme toi j’ai souffert d’invisibilité sociale

    Ne crois pas, l’auditeur, sous ta critique-cible
    Que j’aie alors un jour quelques amis de plus ;
    Si l’étalage accru, je deviens plus visible
    C’est que ma vue est juste et de là bah… « je plus ! »

    Des écrans se sont interposés entre la vie et moi

    Faut-il ce cran-écran, ce clavier-courage
    Pour que, par cet effort, je te touche ? Tu crains
    De m’entendre en colère et d’assouvir MA rage..
    Ne crains pas ! Les écrans, les cages sont écrins !!!!

    Je ne sais plus faire la part entre imaginaire et réalité

    Jusqu’ici ce vin-titre où l’âme est à l’orée,
    On le tire et consomme ! Alors, morte-boisson,
    Ma vidéo sera, pour les ans, honorée !
    Suis-je réelle ? alors pas mieux qu’une moisson …

    Je cherche la reconnaissance

    Suis-je nette ou pas trop ? Disons je suis honnête
    Comme depuis petite émerveillant ; je veux
    Être célèbre ici, faire à chaque saynète
    Scintiller tous les yeux, titiller mes cheveux !

    Je m’adresse au Monde entier

    Cette voix qui t’agace a gravit vagabonde
    Sa vérité du jour. Conteeemple, s’il te plait
    C’est d’un bond qu’au tonneau je te saute sa bonde :
    « Passe donc à mon bar..ce n’est jamais complet ! »

    J’ai soif d’éternité

    C’est ici qu’on s’assoit dés que cèdent mes hanches
    Je pose et ce CANON ne peut plus te quitter.
    Diluer de l’instant, des lundis les dimanches,
    Encore un passe-temps, presse d’éternité !

    Je suis incapable de relation unique

    Tu navigues et veux ni graviers ni vagues !
    Il fallut te marrer, dans l’affût du marin
    Des verbes à propos, des voix brèves et vagues
    Où j’amarrai recluse et ramais tamarin !

    Je dois fournir non stop des signes de mon activité sous peine de disparaître

    Mon sentiment s’est mu, même indu, se méduse
    On te bénis souvent, tu finis amibien
    Du plancton disparu : web-radeau la « Méduse »
    Tant je n’existes plus que si je change bien.

    Pour être heureux vivons caché ça c’était avant

    J’ai croqué le noyau de ce fruit de silence
    Muette aimant l’heureux morceau de cet ennui
    Mais ça c’était avant, avant que je balance
    Que je danse de jour, que je boite de nuit !

    Maintenant soyons visible et faisons envie

    Hume, vois, goûte, cherche, expire ou tu ne fumes
    Tout réside en cela, s’enlacer de désir,
    Dans les secondes d’or de ces ondes, nous fûmes
    Plus voyant que Rimbaud impossible à saisir !

    Je suis vu donc je suis

    Je redis les nom tus des nuances lointaines
    Les amarres du bien les vertueux instants
    Mais combien de marins, combien de capitaines
    Puisque nous les verrons seront leurs existants ?

    Tu me regardes donc j’existe

    Moi-même qui l’écrit, que suis-je dans ces phrases
    Je décris par des cris des essences d’émoi
    Des naissances de net, des sujets que tu rases
    D’un geste si profond. Sans me dire « aidez-moi ! »

    🙂

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